✨ Ce qui a séduit la chenille ne tentera pas le papillon… ✨

Quand j’ai créé ALIZEL il y a 3 ans, je ne pensais pas que je changerais 7 fois de carte de visite.

Pourtant, à chaque étape, j’ai suivi ce qui résonnait en moi.

J’aurais pu rester sur ce qui fonctionnait :

– l’accompagnement des relations sociales,

– le conseil RH

– la médiation…

Mais ce n’était plus ce que j’avais envie d’apporter au monde.

🤩 Alors j’ai accepté que mes envies évoluent.

Mes offres changent, mon positionnement aussi.

Non pas par indécision, mais par conviction

👉 suivre ce qui a du sens, plutôt que lutter contre l’évidence.

Car c’est en étant alignée avec mes aspirations que je suis la plus efficace, engagée et performante.

Le plaisir n’est pas un luxe, c’est un moteur puissant.

💡 Et c’est exactement ce que j’accompagne : des individus et des organisations qui veulent conjuguer sens, plaisir et efficience pour mieux avancer.

🔍 Et vous, avez-vous choisi d’aller vers ce qui vous anime ou de lutter contre ce qui ne vous convient plus ? Partagez en commentaire

Traverser les doutes

3 étapes pour traverser les périodes de « Ahhh, je n’y arriverai jamais… »

Vous la reconnaissez, cette petite voix ? Celle qui surgit juste au moment où vous rêvez plus grand, où vous osez un nouveau projet, où l’inconnu vous appelle?

🙄 Moi, je la connais bien.

Elle me fige parfois. Elle transforme des idées en montagnes et mes capacités en doutes.

Pourquoi ?

Parce que votre cerveau, comme le mien, adore le confort de l’habitude.

💡 Dès que vous imaginez ou créez quelque chose de nouveau, il entre en mode survie.

C’est une réaction normale, mais elle peut nous freiner plus qu’elle ne nous protège.

Alors, que faire ?

Je ne prétends pas avoir une formule magique, mais voici 3 étapes (simples et efficaces !) que je pratique :

1️⃣ Décomposer : Je découpe la situation en petites étapes. Chaque micro-avancée compte.

2️⃣ Explorer : Je me demande : « Qu’est-ce que je peux faire aujourd’hui pour avancer, même un tout petit peu ? »

3️⃣ Partager : J’échange avec d’autres. Souvent, un regard extérieur révèle des solutions que je ne vois pas seule.

Et après ?

🤩 Ces moments de doute deviennent des tremplins. Ils nous apprennent à chercher des solutions, à repousser nos limites, à grandir.

C’est ce que j’adore dans les coachings que je propose => cela aide à sortir de cette spirale de doute, à poser des actions concrètes et à avancer vers vos objectifs.

👉 Et vous ? Comment transformez-vous vos moments de doute en opportunités ? Partagez vos astuces

🔴 Encore un départ ?

« Ça va aller, l’équipe est habituée ! »

❌ Vraiment ? Non, ça ne va pas aller.

Voici pourquoi 👇

Un départ bouleverse toujours l’équilibre d’une équipe.

1️⃣ La charge de travail explose.

Même avec un remplaçant, l’équipe doit absorber la charge en attendant sa montée en compétences. Il y a toujours un temps de flottement avant de retrouver un rythme optimal.

2️⃣ Les relations sont chamboulées.

Un collectif, c’est un équilibre subtil. Quand une personne part, ce n’est pas qu’un siège vide, c’est un ensemble de liens à reconstruire. Comme un pneu qu’on change, c’est toujours deux qui sont impactés.

3️⃣ L’incertitude s’installe.

« Pourquoi est-il/elle parti(e) ? » « Sommes-nous en danger ? » « Que va-t-il se passer ensuite ? » Un départ déclenche une avalanche de questions et un « radio moquette » effervescent qui peut miner la motivation et la confiance.

Alors, que faire en tant que DRH ou manager ?

J’ai vécu ces situations des dizaines de fois, et une chose est sûre : ignorer l’impact d’un départ est une erreur.

La clé ? Transformer ce moment en opportunité.

✅ Nommer les déséquilibres : Un départ change la dynamique. En parler, c’est déjà amorcer la reconstruction.

✅ Accueillir le/la nouvelle : Pas juste en lui donnant un ordi et une adresse mail, mais en prenant un vrai temps d’équipe pour poser de nouvelles bases.

✅ Donner du sens à cette transition

C’est là que j’ai un coup de cœur pour les constellations systémiques.

Elles permettent de visualiser les liens, les tensions, les émotions cachées et de remettre tout le monde en mouvement, en confiance.

🚀 Un départ est un défi, mais aussi une chance de renforcer le collectif.

Et vous, comment accompagnez-vous ces transitions dans vos équipes ?

Au fait, c’est quoi ton job ?

3 fois en 2 jours 🙄

C’est le nombre de fois qu’on m’a dit :
« Je ne sais pas trop ce que tu fais, tu travailles sur les relations, c’est ça ? »

Au début, j’ai souri. Puis, j’ai réfléchi.

🤔 Moi, qui aide les dirigeants et dirigeantes à clarifier leurs projets, leurs dynamiques relationnelles et organisationnelles… il est temps de clarifier aussi mes propositions !

Alors, clarifions…

🤩 Ce qui m’anime profondément :
– Transformer le figé en mouvement et liberté.
– Révéler les ressources cachées, individuelles et collectives.
– Apporter du plaisir : une source inépuisable d’engagement et de performance.

Mon métier ?
Accompagner les dirigeantes et dirigeants à
🎯 S’épanouir dans leurs rôles, avec sens, espace et fluidité
🎯 Faire évoluer les organisations pour qu’elles soient vivantes et performantes.

Alors oui, je travaille sur les relations.

Et concrètement, cela donne :

1️⃣ Du coaching individuel : révéler vos talents, ajuster votre posture et ouvrir de nouvelles perspectives

2️⃣ Des accompagnements d’équipe : amplifier les ressources présentes, redonner du souffle et réactiver l’intelligence collective, grâce à l’Appreciative Inquiry, au codéveloppement et aux constellations d’organisation.

3️⃣ Des dynamiques organisationnelles : réengager vos équipes après des départs ou réorganisations, aligner humains et ambitions, et insuffler une nouvelle énergie au collectif..

C’était mieux avant…

💬 « Anne-Laure, ton prédécesseur faisait comme ça, si tu pouvais faire pareil… »

Lors de l’une de mes prises de poste en CODIR, cette phrase a résonné plusieurs fois. Une comparaison, souvent implicite, parfois directe, avec celle qui m’avait précédée. 🤐

Au départ, j’ai essayé de m’adapter, de suivre cette « méthode ». Mais plus je m’efforçais de correspondre, plus je sentais qu’il y avait un décalage.

Ce n’était pas ma manière de faire qui était en cause.

C’était autre chose

💡 Le « deuil organisationnel » qu’une équipe vit après une transition stratégique.

Car en réalité, une prise de poste en CODIR n’est pas qu’un changement de visage. Elle modifie notamment l’équilibre relationnel, la dynamique de décision.

C’est une étape stratégique qui impacte bien au-delà de l’équipe dirigeante.

🔑 Ce que cette expérience m’a appris :

– Pour le nouvel arrivant : Adopter une posture d’écoute et d’agilité. Reconnaître l’héritage de son prédécesseur, identifier ce qui manque à l’équipe, mais aussi poser une vision claire et se différencier sans confrontation.

– Pour l’équipe en place : Être accompagnée dans cette transition. Partager les valeurs, reconnaître les succès passés, tout en construisant un futur commun. C’est ainsi qu’on sort d’un passé idéalisé pour embrasser une nouvelle phase stratégique.

💡 Pourquoi c’est crucial ?

Parce que si cette phase est mal gérée, elle peut freiner l’entreprise dans sa dynamique de croissance, affecter les performances, et empêcher le CODIR de jouer pleinement son rôle : celui de guider la stratégie, d’aligner les priorités et de faire avancer l’ensemble de l’organisation.

🤔 Et vous, comment avez-vous géré ces comparaisons et ces transitions ?

👉 Partagez votre expérience : comment sortir du « c’était mieux avant » pour construire ensemble un nouveau cap ?

La reconnaissance : moteur ou dépendance ?

Ça fait chaud au cœur… ❤️

Recevoir des témoignages comme celui-ci me rappelle pourquoi je fais ce métier avec tant de passion :

« Anne-Laure conjugue écoute sincère, vision éclairée et un professionnalisme remarquable. Son humanité m’a apporté un soutien précieux… »

🤩 Évidemment, je surkiffe ce genre de retour, parce qu’il reflète la profondeur des connexions humaines créées lors d’un accompagnement.

💡 Mais …j’ai appris une leçon essentielle : ne pas devenir dépendante de la reconnaissance.

Pendant des années en tant que salariée, je cherchais la validation de mes managers.

Je voulais que mes efforts, mon engagement et mon implication soient vus, reconnus à leur juste valeur. Mais cette reconnaissance, si elle venait, ne suffisait jamais.

🥵 La frustration, le doute, et cette sensation de « jamais assez » s’installaient peu à peu.

Cette attente devenait une spirale frustrante, jamais comblée.

😀 Aujourd’hui, j’ai compris que la reconnaissance est précieuse, mais elle ne doit pas devenir une quête sans fin.

Pour moi, elle naît d’une connexion humaine authentique, pas simplement d’un travail « bien fait ».

Et vous ?

❓ Recherchez-vous encore la validation des autres ?

❓ Votre besoin de reconnaissance nourrit-il votre épanouissement ou le freine-t-il ?

👉 Partagez en commentaire votre propre relation à la reconnaissance. Apaisée ? Difficile ?

🚀 La prise de poste en CODIR : un sprint déguisé en marathon

Les 💯 premiers jours. C’est souvent la période où tout se joue.

Voilà le défi :

👉 Comprendre la culture d’entreprise.

🤝 Nouer des liens avec votre équipe et vos pairs.

🤙 Répondre aux attentes du DG.

😀 Trouver vos marques tout en contribuant immédiatement.

C’est un véritable sprint.

Courir cette période comme un 100 mètres, c’est risquer :

❌ De vous épuiser.

❌ De multiplier les faux-pas.

❌ De vous enfermer dans des choix précipités.

💡 Mon accompagnement : transformer la pression en stratégie

🎯 1. Éclairer l’essentiel :
Ensemble, nous identifions ce qui relève des véritables enjeux stratégiques, et ce qui peut attendre. Vous découvrez comment aligner vos objectifs avec votre posture personnelle.

🎯 2. Définir vos priorités :
Grâce à une vision claire des 100 premiers jours, vous apprenez à concentrer vos efforts sur ce qui aura le plus d’impact, en évitant la dispersion.

🎯 3. Décrypter les interactions :
Le CODIR n’est pas qu’un lieu de décisions, c’est aussi un espace de dynamiques humaines et de jeux de pouvoir. Nous travaillons à naviguer au sein de ces interactions avec discernement et authenticité.

Et vous ?

👉 Quels ont été vos plus grands défis lors de vos premières semaines dans un CODIR ou une nouvelle organisation ?

👉 Quelles leçons avez-vous retenues de vos expériences de prise de poste ?

Partagez vos réflexions et vos astuces en commentaire : vos idées pourraient aider celles et ceux qui s’apprêtent à relever ce challenge.

🔗 Envie d’échanger plus en détail sur vos 100 premiers jours ? Contactez-moi, et explorons ensemble la meilleure stratégie pour réussir cette étape clé.

Multi-tâches = efficace ?

J’ai toujours été fière de ma capacité à être « multi-tâches ».

Mais en réalité, c’était une illusion.

🧠 Le cerveau ne peut pas traiter plusieurs tâches avec la même intensité en simultané. Il « zappe » simplement d’une chose à l’autre, diluant ainsi l’attention et l’efficacité.

Je me rappelle de trajets en voiture passés au téléphone, et de cette sensation étrange de ne pas avoir « vu la route ». Ce moment m’a ouvert les yeux.

💡 Dans le livre « The One Thing » (que je vous recommande !), l’auteur propose une approche radicale :

👉 Arrêter de vouloir tout faire en même temps.

👉 Au lieu de disperser nos efforts, il suggère de nous concentrer intentionnellement sur une seule tâche essentielle à la fois.

🎯 Ma résolution pour 2025 ?

– Être intentionnelle et focus.

– Mettre mon énergie sur ce qui compte vraiment : accompagner mes clients avec joie, efficacité et présence.

Et vous ?

👉 Quel serait votre « One Thing » pour cette année ?

👉 Avez-vous déjà ressenti les effets du multitâche sur votre attention et votre efficacité ?

Partagez vos expériences et vos résolutions en commentaire : vos idées pourraient éclairer celles des autres !

La sur-adaptation en prise de poste : une spirale à éviter

Lorsque vous intégrez un nouveau poste, surtout dans un CODIR, tout semble une question d’équilibre :

🤹 Se faire accepter par le collectif.
🤹Faire ses preuves, mais sans écraser les autres.
🤹Trouver sa place tout en respectant celles des autres.

Cela peut vite devenir un piège.

💡 Pourquoi ?

En voulant trop s’adapter, vous risquez de :

❌ Perdre votre authenticité : Ce qui fait votre valeur peut se diluer.

❌ Figer une posture artificielle : Une fois adoptée, elle sera difficile à changer.

❌ Créer un malaise latent : Car, soyons honnêtes, le manque de sincérité finit toujours par se ressentir.

Je vous accompagne à trouver cette posture juste :

🎯 Vous intégrer sans vous effacer.

🎯 Occuper pleinement votre place dans le collectif.

🎯 Naviguer dans les jeux de pouvoir et les positionnements sans vous perdre.

Et vous ?

👉 Avez-vous déjà ressenti ce dilemme entre adaptation et authenticité dans un nouveau poste ?

👉 Quels conseils donneriez-vous à quelqu’un qui rejoint un CODIR ?

La clé d’une journée efficace : ce n’est pas la volonté, c’est la stratégie.

👌 La réalité => nos capacités mentales suivent des rythmes et des cycles, avec des hauts et des bas.

La volonté, c’est comme un muscle ou une batterie :

🔋 Elle est pleine le matin, mais se décharge au fil de la journée.

🫥 Résultat : le soir, nos fameuses « résolutions » deviennent des promesses fragiles. « Non, je ne mangerai pas de chocolat… bon, juste un carré»

Quand la volonté s’épuise, ce sont nos réglages par défaut qui reprennent le dessus, nos réflexes, nos habitudes naturelles.

Pour moi, c’est simple : je papillonne. Je saute d’une tâche à l’autre, sans avancer réellement dès que mon réservoir est vide.

💡 Alors que faire ?

Je place les tâches les plus exigeantes en termes d’engagement le matin, là où ma volonté est la plus forte. Cela m’aide à équilibrer mes efforts et à mieux utiliser mes ressources,

Et vous, que faites vous quand votre volonté est à plat ?

👉 connaissez vous vos « réglages par défaut? »

👉 avez vous des astuces pour contourner ces baisses d’énergie ?

Partagez vos expériences en commentaire, vos idées pourraient inspirer d’autres à mieux gérer leurs journées ! 😉